Le Monde 09/02/2018
Le Monde 09/02/2018
par Nabil Wakim
« Tout le monde se souvient qu’il y a tout juste un an, le baril était encore bas. Personne ne veut crier victoire trop tôt », analyse Denis Florin, de Lavoisier Conseil.
"Car rien ne se crée (…) il n'y a que des changements." Lavoisier 1789
De fait, TotalEnergies est la major la plus impliquée au monde dans les renouvelables, à l'heure où Shell et BP revoient leur politique à la baisse après leur changement de patron. Chez Total, le virage remonte à l'époque de Christophe de Margerie : Il a été le premier à dire "nous sommes des énergéticiens", explique Denis Florin, expert énergie et associé fondateur de Lavoisier Conseil. C'est lui qui, malgré les critiques, a commencé à préparer l'après-pétrole en rachetant SunPower, le numéro 2 américain des panneaux solaires, en 2011. »
France to block gas and electricity price rises until the spring
Anna Gross in Paris SEPTEMBER 30 2021
“The man on the street says: ‘you’ve told us all about this wonderful, cheaper nuclear energy we have in France, so why is my energy bill going up?’,” said Denis Florin, partner at Lavoisier Conseil, an energy-focused management consultancy. “He’s saying ‘show me the money’.”
Les compagnies pétrolières forcées de revoir leurs plans
Par Vincent Collen
En conséquence, la valeur des actifs gaziers est réduite de 8 à 9 milliards, celle des champs pétroliers de 4 à 6 milliards et enfin l'aval (raffinage, chimie…) de 3 à 7 milliards. « Au-delà de la baisse des cours, le secteur du raffinage est structurellement en surcapacité en Europe et dans une moindre mesure aux Etats-Unis, malgré les restructurations récentes », pointe Denis Florin, associé fondateur de Lavoisier Conseil.
La mer du Nord, une zone à coûts élevés qui a dû se restructurer
VERONIQUE LE BILLON Le 21/08 à 19:20
«Tout est à vendre en mer du Nord. Sauf à l'ouest de la Grande-Bretagne et en Norvège, ce sont généralement des actifs matures, avec des perspectives de découverte faibles et des coûts d'exploitation élevés », résume Denis Florin, associé chez Lavoisier Conseil.ANNE FEITZ / JOURNALISTE | LE 17/12 À 07:00
« Avec le développement du pétrole non conventionnel, les Etats-Unis produisent de plus en plus de brut léger, alors que les raffineries du pays sont historiquement conçues pour traiter du brut lourd », souligne Denis Florin, associé chez Lavoisier Conseil. « Cette mesure a un impact symbolique et politique immense, mais techniquement elle se bornera à faciliter les débouchés des producteurs de schiste, car elle sera compensée par des importations de brut lourd. »
Le pétrole du Kurdistan irakien en passe d'être exporté
Par Veronique Le Billon | 03/01 | 06:00
Un avantage économique
Les conséquences géopolitiques d'une montée en puissance du Kurdistan irakien sont potentiellement importantes. « Les Kurdes sont en train de s'affranchir pour construire un Etat autonome qui jouera un rôle vis-à-vis des Syriens, des Turcs, des Iraniens et des Irakiens », estime Denis Florin, associé chez Lavoisier Conseil. Si cela peut représenter un risque pour la Turquie, ce dernier y voit aussi un avantage économique. « La stratégie de la Turquie est de devenir le hub énergétique de la région », poursuit Denis Florin. Le pays est, de fait, à l'intersection de plusieurs zones productrices, notamment en provenance de la mer Caspienne. Les compagnies pétrolières étrangères ont elles aussi fait le pari d'un accord entre Bagdad et Erbil. Total a pris l'été dernier 80 % dans un nouveau champ d'exploration pétrolifère (« Les Echos » du 21 juin 2013), après avoir acheté plusieurs autres parts de gisements. Chevron, ExxonMobil, Gazprom et une quarantaine d'autres ont aussi investi dans une région où les réserves de pétrole sont estimées à 45 milliards de barils.
« Tout le monde se souvient qu’il y a tout juste un an, le baril était encore bas. Personne ne veut crier victoire trop tôt », analyse Denis Florin, de Lavoisier Conseil.
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